mardi 15 mai 2012

La physiologie de nos actions


Le 15 mai 2012 : jour10

Il y a de l’énergie qui circule ou qui ne circule pas, dans toutes choses, dans le roc solide, dans l’eau des rivières, et dans le vent qui souffle, et que l’humain peut ou ne peut pas voir, à l’œil nu ou avec sa toute dernière technologie. Cette énergie se retrouve sous différentes formes de vibrations et c’est ce qui explique qu’on ne peut pas tout voir, entendre, toucher, gouter, sentir et ressentir. Mais, c’est le processus de transformation de l’énergie vitale en la matière qui déterminera notre destinée, que ce sont les liens qui font progresser les évènements, qui font avancer les choses. Ainsi, je propose un changement dans notre style de vie moderne et j’encourage le monde entier d’adopter un mode de vie plus actif qui est essentiel pour survivre au progrès, au vieillissement de l’être.

Avec la gravité qui vous garde les pieds sur terre, l’impact de l’activité physique oblige votre corps à se solidifier et se développer une musculature et une ossature appropriée selon le mode de vie de l’individu. Faite circuler l’énergie dans votre corps de mammouth et vous allez trouver des réserves d’énergie en abondance dans vos tissus adipeux, de l’endurance en masse dans tout votre système et une bonne entente de volonté entre le cœur et l’esprit. Excellente pour la santé physique et mentale et aussi pour le moral. Nous devrions être superbement heureux de n’avoir rien affaires, rien de trop demandant et qui n’exige qu’un effort physique de la part des pouces pour divertir le joueur. Recommençons d’utiliser nos jambes avant de les perdre de dire Serge Bouchard, et pour ne pas avoir à dépendre de robots informatisés pour mobilisé notre cerveau qui, se repli également juste à l’idée du changement. Devant l’écran de nos avancements technologiques, c’est notre cerveau qui suce maintenant le plus d’énergie de notre système. Le corps humain peut bruler jusqu'à 10 fois plus énergie lorsqu’il s’adonne à une activité physique aérobie comparativement à la demande énergétique au repos, et l’activité physique augmente naturellement la production de dopamine dans le cervelet, mais finalement, c’est tout de même l’état de l’environnement qui est primordial de conserver afin que nous puissions recommencer de s’adonner à une activité physique régulière.



Lucie

physiologiste de l’exercice


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